Un plongeur a aperçu la silhouette d’un avion au fond de la mer — mais ce qu’il a vu à l’intérieur du cockpit défiait toute explication

Le plongeur Lucas Moreno pratiquait la recherche sous-marine depuis plus de dix ans.
Il avait tout vu — des épaves, des conteneurs rouillés, des vestiges de la Seconde Guerre mondiale.
Mais ce qu’il découvrit en août 2022, au large des côtes sardes, ne ressemblait à rien de ce qu’il avait rencontré auparavant.

La plongée avait commencé paisiblement. L’eau était claire, le soleil filtrait à travers la surface et formait des bandes d’argent dans les profondeurs.
Lucas cherchait l’emplacement d’un ancien naufrage dont lui avaient parlé des pêcheurs.
À environ quarante mètres de profondeur, il distingua une forme étrange.

D’abord, il crut à une roche.
Puis, à une barque.
Mais en s’approchant, son cœur se serra : c’était un avion.

Le fuselage était intact, sans aucune trace de corrosion. Pas de numéros, pas de logo, rien, même pas sur la queue.
Lucas alluma sa lampe et éclaira le cockpit.
Le verre était intact. À l’intérieur : deux sièges, un tableau de bord — et un écran… qui brillait encore.

Il resta figé.
Impossible. À cette profondeur, sans alimentation, aucun appareil ne pouvait fonctionner.
Et pourtant, les voyants clignotaient — réguliers, stables.
Sur un écran défilaient des chiffres, sur l’autre un mot : “ACTIVE.”

Il s’approcha, filma tout, puis effleura la carlingue du bout des doigts. Le métal était froid, lisse, sans oxydation.
Ses instruments de plongée se mirent soudain à dysfonctionner : la boussole tournait, les chiffres vacillaient.

— Qu’est-ce que… — murmura Lucas à travers son détendeur.

Une vibration subtile monta du fuselage, comme un battement.
Puis, un son métallique bref retentit.

Quand Lucas remonta à la surface, il tremblait.
Il contacta immédiatement les garde-côtes et transmit les coordonnées.
Le lendemain, lorsqu’ils revinrent sur les lieux avec leur équipement, l’avion avait disparu.
Aucune épave. Aucune trace. Seulement le sable et l’eau trouble.

Les enregistrements de la caméra de Lucas confirmèrent son récit : l’avion avait bien existé.
Et sur la dernière image, juste avant la coupure, un message apparut sur le tableau de bord :

“Signal transmitted.”


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